Nos valeurs

Découvrez les valeurs et l'esprit qui animent notre collectif

La gestion des recrutements de volontaires : objectif inclusion

Un réseau de partenaires contribuant à l'accueil et l'envoi de volontaires par la transmission des missions proposées aux différents partenaires européens et l'accompagnement. Tous les échanges se font en réciprocité et tandem.

Un recrutement inclusif

Un objectif toujours atteint de 50% minimum de Jeunes avec Moins d'Opportunités et une composition des groupes de volontaires 50% locaux 50% venus d'autres pays qui garantit intégration locale et immersion.

Une préparation optimale

Offrir le meilleur accompagnement, linguistique, psychologique et interculturel, pour permettre aux jeunes de partir et s'engager dans les meilleures conditions.

Un volontariat de qualité

Proposer les meilleures conditions d'accueil pour les jeunes volontaires. Les jeunes reçoivent les propositions de missions pour partir directement après leur engagement national et un contrôle de satisfaction et qualité garantit la qualité du volontariat, dont les missions sont construites avec les hôtes.

L'intégration professionnelle

Accompagner à travers ce programme l'insertion professionnelle des jeunes en validant les acquis obtenus en langues, compétences informelles, et à travers un accompagnement vers l'emploi et la reprise d'études.

Un engagement solidaire

Les missions principales relèvent de l'éducation, la solidarité, l'intergénérationnelle, la protection de l'environnement et de nombreuses autres priorités d'intérêt général (culture, sports, migration, etc)

Un engagement européen pour une action locale

Les échanges de jeunes menés ont conduit à de nombreux partenariats avec des collectivités en France (Seine Saint-Denis, Strasbourg, Metz), Italie (Bologne, Trentin-Adige), Roumanie (Timisoara), Pologne (Gdańsk, Kielce, Gdynia), Espagne (Madrid, Catalogne, Valence) et des projets de jumelage et autres coopération au delà du domaine jeunesse.

Les valeurs fondamentales d'un mécanisme innovateur

Une approche transverse : interétatique, associative, européenne.

La mobilité européenne effectuée à travers l’engagement civique se heurte à plusieurs difficultés.
D’une part, les dispositifs existants (notamment le Corps européen de solidarité), ne touchent encore essentiellement que les jeunes les plus éduqués, favorisés ou informés.
D’autre part, ces dispositifs sont confrontés au manque d’articulation avec les services civiques nationaux, dont le développement dans un certain nombre d’États est pourtant très dynamique (France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Luxembourg, Belgique). Une convergence apparaît donc souhaitable.

Une approche transverse : interétatique, associative, européenne.

La mobilité européenne effectuée à travers l’engagement civique se heurte à plusieurs difficultés.
D’une part, les dispositifs existants (notamment le Corps européen de solidarité), ne touchent encore essentiellement que les jeunes les plus éduqués, favorisés ou informés.
D’autre part, ces dispositifs sont confrontés au manque d’articulation avec les services civiques nationaux, dont le développement dans un certain nombre d’États est pourtant très dynamique (France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Luxembourg, Belgique). Une convergence apparaît donc souhaitable.

Renforcer la mobilité européenne dans l’administration

Les services civiques nationaux sont un levier naturel du renforcement de la mobilité européenne. Une étape nationale, préalable au départ dans un autre État Membre, fournit à la fois le cadre et le temps d’apprentissage, notamment linguistique, permettant réellement d’ouvrir la mobilité à tous. Par ailleurs, la pleine mobilisation des dispositifs nationaux au service de la mobilité européenne, en complément des dispositifs européens pourrait permettre, à budgets publics constants, de financer jusqu’à 350 000 mobilités européennes supplémentaires par an en faisant de la mobilité une étape incontournable de tout service civique national (contre un objectif actuel du CES de 50 000/an). Cela pourrait se faire par le départ dans un autre pays, où simplement par l’engagement chez soi aux côtés de volontaires d’autres Etats Membres.

Renforcer la mobilité européenne dans l’administration

Les services civiques nationaux sont un levier naturel du renforcement de la mobilité européenne. Une étape nationale, préalable au départ dans un autre État Membre, fournit à la fois le cadre et le temps d’apprentissage, notamment linguistique, permettant réellement d’ouvrir la mobilité à tous. Par ailleurs, la pleine mobilisation des dispositifs nationaux au service de la mobilité européenne, en complément des dispositifs européens pourrait permettre, à budgets publics constants, de financer jusqu’à 350 000 mobilités européennes supplémentaires par an en faisant de la mobilité une étape incontournable de tout service civique national (contre un objectif actuel du CES de 50 000/an). Cela pourrait se faire par le départ dans un autre pays, où simplement par l’engagement chez soi aux côtés de volontaires d’autres Etats Membres.

La coopération entre les services civiques nationaux et l’administration

Cette coopération doit s’appuyer sur des initiatives expérimentales concrètes au niveau local et européen. Notre démarche a toujours été de démontrer opérationnellement la pertinence de notre dispositif pour toucher une plus grande diversité de jeunes et les amener vers la mobilité européenne. Nous cherchons à établir un réseau européen en la matière et un modèle pouvant ensuite être élargi à toute l’UE. 
Nous testons ainsi notre projet à partir d’une expérimentation lancée en septembre 2020 en « Grande région » permettant d’ores et déjà d’enchaîner 6 mois de service civique, suivis de 6 mois de CES.
Nous souhaitons ainsi démontrer que le dispositif axé sur la complémentarité entre expérience nationale/européenne est fonctionnel et pertinent, et promouvoir cette idée jusqu’à ouvrir cette expérience à l’ensemble des jeunes européens.

La coopération entre les services civiques nationaux et l’administration

Cette coopération doit s’appuyer sur des initiatives expérimentales concrètes au niveau local et européen. Notre démarche a toujours été de démontrer opérationnellement la pertinence de notre dispositif pour toucher une plus grande diversité de jeunes et les amener vers la mobilité européenne. Nous cherchons à établir un réseau européen en la matière et un modèle pouvant ensuite être élargi à toute l’UE. 
Nous testons ainsi notre projet à partir d’une expérimentation lancée en septembre 2020 en « Grande région » permettant d’ores et déjà d’enchaîner 6 mois de service civique, suivis de 6 mois de CES.
Nous souhaitons ainsi démontrer que le dispositif axé sur la complémentarité entre expérience nationale/européenne est fonctionnel et pertinent, et promouvoir cette idée jusqu’à ouvrir cette expérience à l’ensemble des jeunes européens.

Un projet pilote au niveau européen

Un moyen d’une meilleure coordination des dispositifs existants serait de favoriser un cadre légal en commun, actuellement inexistant.
Le projet pilote du parlement européen que nous portons réalise cet objectif: en structurant pour la première fois, tel que déjà affiché dans les objectifs stratégiques de l’instrument CES, une convergence, très complémentaire, des services civiques nationaux avec le Corps européen de solidarité.
Le succès du portage d’un tel projet pilote permettrait à la fois:
1. D’articuler services civiques nationaux existants avec le corps européen de solidarité à travers la double expérience que nous proposons
2. De permettre dans le cadre du Corps européen de solidarité, et à travers ce projet pilote, la combinaison d’une expérience nationale avec une expérience dans un autre Etat Membre, dans les pays ne disposant pas encore de services civiques nationaux. Cela favoriserait la dissémination des mécanismes de services civiques nationaux.
Le fait d’avoir remporté pour la France le Prix Charlemagne pour la jeunesse est déjà une première étape de la consécration de notre projet.

Un projet pilote au niveau européen

Un moyen d’une meilleure coordination des dispositifs existants serait de favoriser un cadre légal en commun, actuellement inexistant.
Le projet pilote du parlement européen que nous portons réalise cet objectif: en structurant pour la première fois, tel que déjà affiché dans les objectifs stratégiques de l’instrument CES, une convergence, très complémentaire, des services civiques nationaux avec le Corps européen de solidarité.
Le succès du portage d’un tel projet pilote permettrait à la fois:
1. D’articuler services civiques nationaux existants avec le corps européen de solidarité à travers la double expérience que nous proposons
2. De permettre dans le cadre du Corps européen de solidarité, et à travers ce projet pilote, la combinaison d’une expérience nationale avec une expérience dans un autre Etat Membre, dans les pays ne disposant pas encore de services civiques nationaux. Cela favoriserait la dissémination des mécanismes de services civiques nationaux.
Le fait d’avoir remporté pour la France le Prix Charlemagne pour la jeunesse est déjà une première étape de la consécration de notre projet.

Notre histoire

Les dates clés de la création du projet
  • 2017Naissance du projet

    Début du travail informel sur l’idée d’un service civique européen pour tous.
  • Mai 2018Dépôt de statut

    Dépôt de statut pour l’association “Collectif pour un Service Civique Européen”.
  • Décembre 2018Partenariat Unis Cité

    Lancement de l’idée d’une expérimentation locale du dispositif; premier partenariat avec Unis Cité.
  • Septembre 2020Projet pilote en France

    Démarrage dans le Grand Est de la première promotion de jeunes en Service Civique Européen.
  • Mars 2021Départ en Europe

    Fin de la première promotion des jeunes volontaires en Service Civique Européen. Départ vers l'Italie des volontaires français de la première promotion du Service Civique Européen.

Le projet pilote en France

Le Collectif pour un Service Civique Européen a mis en œuvre en septembre 2020 l’expérimentation de son projet : élargir et rendre plus accessible la mobilité, tout en se basant sur les dispositifs déjà existants, le service civique national et le Corps Européen de Solidarité (CES).

Le cœur de ce modèle inédit est très simple. Il permet aux jeunes de démarrer leur service civique pendant 6 mois chez eux, leur donnant le temps et le cadre nécessaire pour se préparer ensuite à compléter leur expérience par un service civique dans un autre État membre, effectué dans le cadre du CES, programme de volontariat de l’Union européenne.

Ce dispositif permet aussi de vivre une expérience authentiquement européenne tout du long, puisque les groupes de jeunes associent en permanence 50% de jeunes effectuant la première phase de service civique chez soi (dans le cas d’une mission en France, des Français), et 50% de jeunes venus d’Europe et menant la seconde phase de mobilité. Toutes les missions seront donc menées collectivement par des jeunes de plusieurs nationalités.

L’équipe du Collectif, en charge de la coordination de l’expérimentation, a assuré, à la demande de ses partenaires associatifs, les tâches bénéficiant d’économies d’échelles : recherche de financement, d’hébergement, gestion des agréments, développement du réseau, facilitation des transports, organisation des cours de langues, etc.

Le projet a associé pour son démarrage des acteurs et volontaires en service civique de 5 États membres (France, Allemagne, Belgique, Luxembourg et Italie) pour une expérimentation ayant pris place dès septembre 2020 au cœur de la Grande Région, espace transfrontalier d’ores et déjà fortement intégré.

Afin de mener à bien l’expérimentation, le CSCE s’est appuyé sur des acteurs nationaux du service civique et des acteurs locaux de Sarre et Rhénanie. Ces partenaires opérationnels (Unis-Cité , la Haus Der Offenen Tür, le SHG Zentrum für Freiwilligen Dienst et le Spohns Haus) avaient pour mission d’accueillir les jeunes pendant leur mission. Ce choix de mission a été déterminé par l’expérience des différents partenaires opérationnels dans le domaine de l’accueil de volontaires en service civique.

La première promotion du Service Civique Européen (SCE), organisée par Unis-Cité en septembre 2020 était composée de 24 jeunes (50% de Français et 50% d’Européens hors France) en Lorraine, à Metz.  Ils ont ensuite été rejoints par des promotions créées par chacun des partenaires dans leur pays, dans le but d’étendre à l’avenir l’ensemble du réseau. 

Après une période de 6 mois, ces promotions sont renouvelées et les jeunes ayant démarré dans leur pays s’expatrient dans les promotions des autres territoires, ce qui permet à la fois un brassage permanent des expériences et d’assurer un environnement authentiquement européen à chaque étape du projet de volontariat des jeunes impliqués.